Table
Au boulot ou encore à la station-service on a tous au moins une fois utilisé un distributeur pour savourer une boisson chaude ou se restaurer sur le pouce. Loin de la pièce que l’on frotte sur le côté, car elle ne passe pas dans la machine, si l’on devait comparer les distributeurs, on constaterait à quel point ils ont changé depuis quelques années.
Faire l’appoint
Ce qui a changé, concerne principalement nos habitudes de paiement. Il y a encore quelques années, l’utilisation de la carte bancaire n’était pas aussi importante qu’à l’heure actuelle. Ainsi, avoir une pièce à disposition peut vite ressembler à un parcours du combattant, entre le billet à aller retirer au guichet, et faire ensuite suffisamment de monnaie pour se procurer enfin la douceur tant convoitée. En bref, ça peut très vite vous faire passer l’envie ! Il était important de pouvoir adapter les distributeurs aux besoins et aux habitudes des utilisateurs. Il est désormais possible de payer en liquide, par carte bancaire et depuis peu par paiement sans contact (voire par mobile).
Un bon suivi
L’avantage du « tout numérique » concerne le suivi complet et les habitudes d’achat des utilisateurs. Ainsi le commercial en charge de proposer les produits peut avoir une vision de ce qui se vend ou pas et ainsi améliorer ses performances de ventes. Le tout en temps réel, il peut donc également prévoir les ruptures, anticiper les commandes ou proposer un produit similaire très rapidement. Les secteurs intéressés par la mise en place au sein de leurs structures d’un distributeur sont de plus en plus variés.
- Bureaux d’entreprises ou collectivités
- Les industriels
- Structure de la santé, éducative, sportives
- Les lieux publics
- Les installations de loisirs
- Les gares et installations pour le public
- Le secteur de l’hôtellerie
- Les centres de remise en forme
- Les bars et restaurants
Pour les petites et moyennes entreprises, l’utilisation et la mise en place de distributeur automatique sont le plus souvent un dépôt gratuit ou à gestion totale. Contrairement aux très petites entreprises qui préféreront l’autogestion.